Décembre 2022

Conférence de Pierre Vasarely
le 2 décembre à 18h30, à Gordes

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Vasarely dans la cité
Exposition flash
et Conférence de Pierre Vasarely
le 13 décembre à 19h00, à Grenoble
Maison de l’Architecture de l’Isère

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« Un art social », « l’art pour tous » « faire descendre l’art dans la rue »  sont le postulat de l’œuvre optico-cinétique de Victor Vasarely.
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La Fondation Vasarely mène depuis plusieurs années la restauration des intégrations monumentales de Victor Vasarely dans l’espace public (Para-Vista de l’Université de Paris Jussieu (1971-2011), Fresques de la Gare Montparnasse (1971-2022), portail de l’Université de Montpellier (1966-2022), sculpture Kroa de l’Université Marseille Saint Jérôme (1971-2022), démontage de la façade RTL Paris (1971-2018), etc.)
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Les Anneaux de vitesse de Grenoble, réalisés dans le Parc Paul Mistral à l’occasion des Jeux Olympiques de 1968, est l’une des œuvres les plus emblématiques du plasticien, aujourd’hui très dégradée.
Pierre Vasarely, présentera et débattra de la démarche plastique des intégrations urbaines de Victor Vasarely et de son actualité dans l’art et l’espace public.

Damien Bénéteau
Variations in Variations
vernissage le 15 décembre à 18h00

damien-beneteau-fondation-vasarely

Depuis une dizaine d’années, Damien Bénéteau décline une série de sculptures, Variations, qui rendent tangibles les forces ordinairement imperceptibles qui gouvernent notre univers. Chacune consiste en un dispositif mécanique, cinétique et optique qui permet à la perception humaine de saisir dans une forme d’évidence sensible l’écoulement du temps et la structure cyclique de l’univers.
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Pour son projet à la Fondation Vasarely, Damien Bénéteau reprend la forme du pendule, pensée à l’échelle d’un bâtiment, à l’image de celui de Foucault au Panthéon. Fixées au faîtage, à 11 mètres de hauteur, l’installation repose sur le même principe que les Variations : une sphère en mouvement traverse une imposante plaque de métal posée à la verticale, découpée dans toute sa hauteur et éclairée depuis sa tranche intérieure.
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Commissaire : Djeff

Vivre sans témoin
Chroniques, Biennale des Imaginaires Numériques
jusqu’au 22 janvier 2023, à la Fondation

Habitué·es à vivre dans un monde ouvert non stop, la permanence des lumières artificielles est devenue une seconde nature. Les lumières blanches qui envahissent nos villes sont non seulement une perte esthétique dans nos rapports avec le cosmos et le ciel étoilé, mais ont également des conséquences sur le vivant et les écosystèmes naturels qui ont besoin de percevoir l’alternance du jour et de la nuit.
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Cette lumière blanche à l’œuvre dans de nombreuses techniques contemporaines comme les caméras infrarouges, de surveillance, les satellites et les drones, contribuent à créer un univers où il ne fait jamais nuit pour personne et où, à la manière d’un panoptique, la surveillance est généralisée. Empruntée à Michael Foessel dans son ouvrage éponyme sur la nuit, l’obscurité que nous cherchions dans la nuit est-elle en train de disparaître ? Serions-nous entré·es dans un monde où vivre sans témoin devient impossible ?
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L’exposition, organisée dans le cadre de Chroniques, regroupe les oeuvres de Stéphanie Roland, Dimitri Mallet, Emmanuel Van der Auwera, Pierre Corric et Stéphanie Thidet, dont l’oeuvre est représentée ci-dessus. 
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L’artiste Quayola a remporté le 3e Prix International de la Fondation Vasarely & Chroniques. Créée cette année, l’œuvre Pointilisme : Provence, prend comme point de départ les paysages environnants de la Sainte-Victoire que l’artiste a scannés à l’automne et au printemps. Pointillisme : Provence est une nouvelle œuvre qui poursuit l’exploration de Quayola sur les systèmes de balayage laser de haute précision et de leurs imperfections héritées. En établissant un parallèle entre les traditions picturales historiques et l’esthétique computationnelle, ce projet spécule sur de nouvelles peintures de paysages créées par des machines. Tout en reproduisant des conditions similaires à celles des peintres en plein air de la fin du 19e siècle, les paysages naturels sont en fait observés et analysés par le biais d’appareils technologiques sophistiqués et réaffectés à de nouveaux modes de synthèse visuelle.

Chantier de restauration et
Raccrochage des 7 tapisseries d’Aubusson

Le chantier de conservation-restauration des intégrations au sein de la Fondation Vasarely se poursuit. Ce projet pluriannuel, qui a débuté en 2018, est programmé jusqu’en 2028, a pour objectif d’améliorer la lisibilité des œuvres et de stabiliser les dégradations liées au manque d’entretien et de sécurisation.
Après un traitement de désinsectisation sous anoxie dynamique et une intervention de restauration, les sept tapisseries, commandées par Victor Vasarely aux ateliers Pinton ’Aubusson en 1974, vont retrouver leur place au mois de décembre 2022 dans les salles 6 et 7.*

Nous sommes très heureux de pouvoir vous les présenter à nouveau.

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Les intégrations Zett et Tridim-Blanc seront traitées en 2023 suivant les résultats de l’étude préalable réalisée en 2019.

Ce vaste chantier de restauration ne pourrait avoir lieu sans l’aide de l’Etat, des collectivités territoriales, de mécènes et des entrées de la Fondation Vasarely.

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Merci à eux.

*Anoxie réalisée par Alain Renard
Conservation-restauration par une équipe de 9 personnes dirigée par Abigaël David
Raccrochage par la société Contrevent, dirigée par Marc Anquetil

Médiation culturelle
Vacances de Noël

“Jardin en pointillés”
7 à 12 ans
22 et 29 décembre

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C’est avec l’invention du numérique et des ordinateurs que nous découvrons l’utilisation du « pixel » : ce petit point coloré, juxtaposé à d’autres pixels est l’élément de base qui nous donne à voir une image numérique. En art, un procédé s’en rapproche : le pointillisme. Chroniques s’invite à la Fondation Vasarely pour proposer un atelier chatoyant où nous vous invitons à appréhender la technique du pointillisme. En expérimentant le rythme, la couleur, la perspective, les ombres et la lumière, donnez vie à une création unique et originale, en pointillés !

“Expérience codée”
7 à 12 ans
20 et 27 décembre

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À l’époque de la transformation digitale où règnent les nouvelles technologies, l’art est en train de se métamorphoser. Dans les années 60, extrêmement visionnaire, Victor Vasarely crée des œuvres et des illusions optiques sans l’aide de l’informatique. Plonge-toi dans l’univers des algorithmes pour réaliser ta propre création colorée sur le thème de « La Nuit », et réalise une œuvre unique en te servant du codage.

Visite découverte des
collections permanentes

Tous les samedis et dimanches à 14h30

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L’exposition “Vasarely Plasticien” vous propose de découvrir ou de redé-couvrir l’univers plastique de Victor Vasarely, depuis ses débuts de graphiste jusqu’à la réalisation de ses intégrations monu-mentales et de son projet utopique de la “Cité poly-chrome du bonheur”. Cette présentation didactique, avec près de 200 œuvres et documents originaux, dans une scénographie adaptée, intègre les élé-ments fondamentaux du projet du Plasticien français d’origine hon-groise (Pécs 1906 – Paris 1997). Partez ensuite à la découverte des salles du centre architectonique et de ses intégrations monumentales, pour une expérience optique et ludi-que. Le parcours propose une immersion dans le monde de l’abstraction géométrique de Vasarely où le public est lui-même acteur des effets visuels.

Noël 2022
Vente de sérigraphies de Vasarely

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Pour la troisième année consécutive, dans le cadre du click & collect, la Fondation Vasarely vous propose une vente de sérigraphies originales de Victor Vasarely, signées, numérotées et encadrées !
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Cette vente spéciale se tiendra en ligne ainsi qu’à la Fondation Vasarely du 2 au 22 décembre afin de soutenir nos activités.
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Le retrait des sérigraphies se fera uniquement dans notre boutique.

Hors les murs

Mouvement
jusqu’au 8 janvier 2023
Bonisson Art Center, Rognes, France

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Paris et nulle part ailleurs
jusqu’au 22 janvier 2023
Musée de l’immigration, Paris, France

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L’oeil en Jeu
jusqu’au 26 février 2023
Palazzo del Monte di Pietà, Padova, Italie

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Vasarely de l’art optique
au folklore planétaire

jusqu’au 29 janvier 2023
Andorre-la-vella, Andorre

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« La révélation de Gordes, pour moi, c’était de constater un phénomène à l’échelle d’une ville bâtie sur roc. Spectacle permanent le jour, ou par clair de lune, obsédant, mais combien fécond ! Négligeant l’histoire et la beauté des vieilles pierres, c’est cette plasticité en plan vertical qui m’a saisi et à engendré une suite d’œuvres multicolores déterminantes »

Victor Vasarely Folklore planétaire, Edition Studio Bruckmann, 1973, Munich, page 36.