Vacances de la Toussaint
Victor Vasarely s’intéresse aux techniques de la photographie et réalise la série “photo-graphismes” dont découlera sa période Noir-Blanc. Viens tenter une expérience unique et capture des images à l’aide du procédé de cyanotype, un des plus anciens en photographie inventé en 1842 par John Herschel. En utilisant les formes géométriques et grâce aux rayons solaires, réalise des impressions uniques de tirage d’un très beau bleu cyan.
Atelier Chroniques
L’hexagone en folie
© Edith Godefroid – Les Amours de Gabrielle
Victor Vasarely, Extrait de Notes Brutes, (Notes plastiques), 1954
Pointillisme : Provence
du 10 novembre 2022 au 22 janvier 2023 Résidences d’artistes
Médiation culturelle
jusqu’au 4 novembre
mercredi 13 novembre
tous les mercredisEdith Godefroid : Les Amours de Gabrielle
le 19 novembre à 19hTable ronde
Centre Ken Saro Wiwa, à Paris
organisée par la Villa Datris
le 17 novembre à 20hVASARELY DE L’ART OPTIQUE AU FOLKLORE PLANÉTAIRE
Andorre-la-Vella
jusqu’au 29 janvier 2023
Les principales étapes créatives du parcours du plasticien sont représentées tout au long de cette exposition.Hors les murs
jusqu’au 26 février 2023
jusqu’au 22 janvier 2023
Sur les 15000 artistes actifs à Paris à cette époque, 60 à 65 % d’entre eux sont étrangers.« C’est à force de m’être demandé inlassablement en œuvrant : « À quel niveau le banal se mue en significatif ? Où se situe le passage de la forme-couleur ordinaire en miracle plastique ? », que je crois avoir trouvé le minimum qui dit tout encore. »
© David Quayola
À l’occasion de la seconde édition de la Biennale des Imaginaires Numériques, l’artiste Quayola a remporté le 3e Prix International de la Fondation Vasarely – Chroniques.
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Créée cette année, l’œuvre Pointilisme : Provence, prendra comme point de départ les paysages environnants de la Sainte-Victoire que l’artiste a scannés à l’automne et au printemps.
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Pointillisme : Provence est une nouvelle œuvre qui poursuit l’exploration de Quayola sur les systèmes de balayage laser de haute précision et de leurs imperfections héritées.
En établissant un parallèle entre les traditions picturales historiques et l’esthétique computationnelle, ce projet spécule sur de nouvelles peintures de paysages créées par des machines. Tout en reproduisant des conditions similaires à celles des peintres en plein air de la fin du 19e siècle, les paysages naturels sont en fait observés et analysés par le biais d’appareils technologiques sophistiqués et réaffectés à de nouveaux modes de synthèse visuelle.
Diplômé des Arts décoratifs de Paris, Lucien Bitaux qui a initié la Scoposcopie, une discipline cherchant à représenter les dimensions imperceptibles, est en résidence à la Fondation Vasarely.
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Il poursuit son travail à propos du visible en résidence à la Cité internationale des Arts et au Fresnoy, studio national des arts contemporains. Il réalise alors le projet « Les Liminaux, métamorphose de l’être en sa vision » suivi par Valérie Jouve. Naïvement, il cherche d’autres façons de capturer et de montrer le réel. Cette démarche expérimentale s’appuie sur la fabrication de ses propres instruments.
En partenariat avec Le Fresnoy, Studio national des arts contemporains, Tourcoing, Le Grenier à sel, Avignon.
Le 14 janvier 2021 s’est déroulé le Prix International de la Fondation Vasarely – Chroniques, Biennale des Imaginaires Numériques, rassemblant plus de 15 artistes internationaux.
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Davide Quayola, artiste italien a été distingué pour la série « Remains », présentée à la Friche Belle de Mai à Marseille dans le cadre de la Biennale Chroniques, ainsi que pour le reste de son oeuvre et l’ensemble de sa pratique.
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Le lauréat bénéficie d’une exposition à la Fondation Vasarely dans le cadre du 3ème Prix International de la Fondation Vasarely – Chroniques en 2022 (du 10 novembre 2022 au 22 janvier 2023, d’une résidence au sein du Centre aixois en 2021.
Dans le cadre de la Biennale des Imaginaires Numériques en partenariat avec Chroniques, la Fondation vous invite à la découverte d’un artiste à la palette de couleur chatoyante.
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Retrouvez-vous autour d’un moment de partage artistique où petits et grands pourront s’ap-proprier l’art du pointillisme pour créer votre propre paysage coloré en mouvement entre figuratif et abstraction.
Celui que l’on appelle « le père de l’Op art » est connu pour sa réalisation d’illusions d’optiques en jouant avec les formes et les couleurs. L’hexagone est une forme au centre de sa création, si bien qu’il a imaginé le bâtiment de la Fondation à partir de cette forme à 6 côtés, rendant hommage à son pays d’accueil : la France.
Viens à ton tour réaliser une illusion d’optique sur la base de cette forme géométrique et amuses toi avec les couleurs.
Un spectacle clownesque mettant en scène la quête amoureuse d’un personnage aussi naïf qu’impulsif dont la poésie est une chance d’espérer un monde meilleur. Face aux discriminations qui persistent envers les personnes LGBTQI+, ce spectacle est une invitation aux questionnements et aux surprises de la vie. C’est la victoire de l’amour et de la liberté face à l’intolérance.
Participation au chapeau.
Cette table ronde est organisée pour débattre des origines de l’art cinétique et sa réception à l’époque ainsi que les enjeux de l’art cinétique.
Cet événement se déroulera au Centre Ken Saro Wiwa, 63 rue de Buzenval à Paris et se tiendra en parallèle de l’exposition Cinétique ! La sculpture en mouvement (9 avril – 11 décembre). Des extraits du film Le Mouvement seront diffusés.
Intervenants : Domitille D’Orgeval, Denis Kilian et Pierre Vasarely.
L’exposition, composée de 65 œuvres de Victor Vasarely provenant de la Fondation Vasarely ainsi que de diverses collections privées d’Andorre et de France.
Victor Vasarely utilise des éléments simples issus de la géométrie et de la physique des apparences afin de provoquer des phénomènes optiques dynamiques qui jouent avec la perception visuelle (mouvement, ambiguïté, instabilité), qui requièrent et qui nécessitent la participation active du spectateur.
MOUVEMENT
jusqu’au 8 janvier 2023
La manifestation, au Bonisson Art Center de Rognes, regroupe plus d’une cinquantaine d’oeu-vres de quarante artistes, propose une plongée dans l’art cinétique, dont l’acte fondateur fut posé par la célèbre exposition « Le Mouvement », organisée en 1955 par Denise René dans sa galerie de la rue la Boétie à Paris, avec Vasarely, Calder, Duchamp, Jacobsen, Tinguely, Agam, Pol Bury et Soto.
L’oeil en Jeu
Au palazzo del Monte di Pietà, Padoue (Italie) du 24 septembre 2022 au 26 février 2023.
L’exposition se propose de reconstituer avec précision les relations et les influences qui ont lié les pratiques des artistes aux études expérimentales et académiques sur la psychologie de la perception menées par l’Université de Padoue.
Paris et nulle part ailleurs
Au Musée national de l’histoire de l’immigration, Paris, du 27 septembre 2022 au 22 janvier 2023.
Qu’ils ne passent que quelques mois, quelques années, partent et reviennent, ou s’installent définitivement, pour quelles raisons ces artistes sont-ils venus ?