Le petit-fils du peintre se bat pour récupérer les toiles que le FBI a retrouvées l’année dernière à Porto Rico sur fond de querelle familiale. . La centaine d’œuvres de Victor Vasarely saisies l’année dernière par le FBI à Porto Rico, reviendront-elles un jour en France ? Leur destin nourrit une longue saga judiciaire, qui oppose la belle-fille du plasticien à son petit-fils. L’affaire, instruite à Paris, porte le nom de Victor Vasarhelyi, dit Vasarely (1906-1997), créateur franco-hongrois de l’Op-Art et de la peinture cinétique.
PUBLIÉ LE 03 AOÛT 2024
PUBLIÉ LE 03 AOÛT 2024
Una fundación en Francia liderada por el nieto y otra en Puerto Rico, a cargo de la viuda del primogénito del artista franco-húngaro, se disputa la posesión de 112 obras del autor del logo de Renault . El espectacular decomiso en Puerto Rico de un centenar de cuadros del artista franco-húngaro Victor Vasarely (1906-1997), padre del “op art”, ha desembocado en una dura batalla legal en Francia, cuyas autoridades judiciales reclaman el retorno de las obras. . Vasarely (su nombre de nacimiento era Vasarhelyi) ganó fama mundial con sus cuadros de formas geométricas con efectos ópticos. Su obra en los años 60 y 70 tenía tanta repercusión como la de Pablo Picasso o Salvador Dalí, y a su muerte en 1997 donó cientos de obras a la fundación epónima abierta en 1971 en Aix-en-Provence (sureste de Francia).
Vasarely (su nombre de nacimiento era Vasarhelyi) ganó fama mundial con sus cuadros de formas geométricas con efectos ópticos. Su obra en los años 60 y 70 tenía tanta repercusión como la de Pablo Picasso o Salvador Dalí, y a su muerte en 1997 donó cientos de obras a la fundación epónima abierta en 1971 en Aix-en-Provence (sureste de Francia). Sus obras de colores vivos inundaban por entonces la cultura popular: relojes, vasos, una funda de disco de David Bowie, el rombo de la marca automovilística Renault y más. El artista abstracto entonces en sus sesenta y tantos, vio cómo sus pioneros diseños geométricos e hipnotizantes ilusiones ópticas representaban a su generación.
PUBLIÉ LE 02 AOÛT 2024
PUBLIÉ LE 31 JUILLET 2024
El espectacular decomiso en Puerto Rico de un centenar de cuadros del artista francohúngaro Victor Vasarely, padre del “op art”, ha desembocado en una dura batalla legal en Francia, cuyas autoridades judiciales reclaman el retorno de las piezas. . La obra del artista fue tan influyente como la de Picasso y cuando murió, su nieto Pierre –actual presidente de la fundación– fue designado único titular del derecho moral sobre su legado. . Pierre Vasarely es hijo del primer matrimonio de Jean-Pierre, conocido como Yvaral, artista como su padre Victor. . Yvaral se casó en segundas nupcias con Michèle Taburno, que acabó instalándose en Puerto Rico tras llevarse numerosas obras de Vasarely. . El nieto acusó a Taburno de haber expoliado a la fundación de Aix-en-Provence en su beneficio.
PUBLIÉ LE 31 JUILLET 2024
PUBLIÉ LE 31 JUILLET 2024
Ces œuvres ont été saisies en 2023 lors d’une spectaculaire perquisition de la police fédérale américaine (FBI) dans une fondation créée par la belle-fille du peintre à Porto Rico. La centaine d’œuvres de Victor Vasarely, saisies l’année dernière par le FBI à Porto Rico, reviendront-elles un jour en France ? Leur destin nourrit une longue saga judiciaire, qui oppose la belle-fille du célèbre plasticien à son petit-fils. . L’affaire, instruite à Paris, porte le nom de Victor Vasarhelyi, dit Vasarely (1906-1997), créateur franco-hongrois de l’art optique (op art) et de la peinture cinétique. De son vivant, l’artiste, dont la notoriété a été comparable dans les années 1970 à celles de Pablo Picasso ou Salvador Dali, a donné à titre inaliénable des centaines d’œuvres à la fondation éponyme ouverte en 1971 à Aix-en-Provence. . Ses œuvres aux couleurs vives inondaient alors la culture populaire : sur des montres, des verres, une pochette de disque de David Bowie, les façades de Montparnasse, le losange de Renault…
El espectacular decomiso en Puerto Rico de un centenar de cuadros del artista francohúngaro Victor Vasarely (1906-1997), padre del « op art », ha desembocado en una dura batalla legal en Francia, cuyas autoridades judiciales reclaman el re…
PUBLIÉ LE 30 JUILLET 2024
PUBLIÉ LE 15 JUILLET 2024
Estos son los extremos dentro de una de las principales preguntas que se plantean en el pleito relacionado a las obras del artista Víctor Vasarely, ocupadas por las autoridades federales el año pasado en San Juan, sobre si deben permanecer en Puerto Rico o si deben ser enviadas a Francia. . La determinación será tomada por la jueza María Antongiorgi Jordán, quien recibió los informes que pidió a la Fiscalía federal y los abogados de la coleccionista de arte Michele Taburno Vasarely, nuera del fenecido artista considerado como el “padre del arte óptico”. . Esas obras figuran en el centro de un litigio judicial en París por más de una década, desde que un tribunal declaró nulo un proceso de arbitraje de 1995 que resultó en la distribución de obras de Vasarely a herederos, y se radicaron cargos contra varias personas, incluyendo a Taburno Vasarely.
L’article « Renault, l’enthourloupe ? » sous la plume de Vincent Noce, dans votre édition du 21 juin 2024, glisse une étonnante incidente à l’évocation de la vente d’une oeuvre de Victor Vasarely : « dont l’héritage a été dégradé par le naufrage de sa fondation et les déchirements de sa famille ». Est-il permis de parler vrai et de redresser un tel propos aussi lapidaire que déroutant ?Le naufrage a certes menacé cette fondation à but non lucratif reconnue d’utilité publique en 1971. C’était en d’autres temps et quand elle était en d’autres mains. Depuis 2009, quand j’ai enfin pu en reprendre la présidence, l’institution monte marche à marche les degrés de son renouveau : reconnaissance publique, fréquentation et activité redoublée.
PUBLIÉ EN JUILLET 2024
PUBLIÉ LE 11 JUILLET 2024
Avril 2023, le FBI saisissait chez Michelle Taburno, ex-belle-fille de Victor Vasarely réfugiée à Puerto Rico, plusieurs dizaines de tableaux du maître. En attendant que la justice américaine ne passe, la Cour d’appel de Paris, « par arrêt rendu le 4 juillet 2024, a validé la saisie des 112 œuvres originales (…) en attente, depuis cette date, d’être rapatriées en France », indique Pierre Vasarely, président de la fondation homonyme, dans un communiqué. « C’est à l’issue d’une procédure d’arbitrage (1995), qualifiée par la suite par la justice de simulacre et annulée, que la Fondation Vasarely a été dépossédée de ces œuvres retrouvées, exportées illégalement, à Porto Rico », rembobine Pierre Vasarely. « La Fondation se réjouit donc de la décision intervenue le 4 juillet dernier et espère désormais que ces œuvres, qui sont siennes, rentrent en France rapidement et retrouvent ainsi la destination que leur avait donnée le plasticien et son épouse », conclut le président de la fondation aixoise.
El presidente de la Fundación Vasarely, Pierre Vasarely, informó que un tribunal francés “validó” la incautación de 112 piezas del fenecido artista Víctor Vasarely ocupadas por las autoridades federales en Puerto Rico el año pasado. Agentes del Negociado Federal de Investigaciones (FBI, por sus siglas en inglés) diligenciaron una orden de allanamiento y confiscación en abril de 2023 como parte de un caso criminal en París contra Michele Taburno-Vasarely, nuera del llamado padre del arte óptico. Abogados de Taburno-Vasarely intentaron apelar la orden de confiscación, mientras que en el Tribunal Federal en San Juan radicaron una demanda para que le devuelvan las obras alegando violaciones a derechos bajo las leyes de Estados Unidos.
PUBLIÉ LE 09 JUILLET 2024
PUBLIÉ LE 09 JUILLET 2024
Le 11 avril 2023, le FBI avait saisi, sur ordre d’un juge français, 112 œuvres de Vasarely au domicile de Michèle Taburno à Porto Rico. La belle-fille du maître de l’art optique avait fait appel de l’ordonnance de saisie et demandé la nullité de sa mise en examen notamment pour « abus de confiance » et « blanchiment ». Par arrêt rendu le 4 juillet 2024, la Chambre de l’instruction de la Cour d’appel de Paris a débouté celle-ci. « C’est une grande joie et la validation des opérations menées depuis toutes ces années, se réjouit Pierre Vasarely, petit-fils de l’artiste et président de la Fondation. Je pense que la justice américaine n’attendait plus que cette décision qui est exécutoire. Nous sommes impatients du retour de ces œuvres qui n’auraient jamais dû quitter le territoire national », souligne-t-il. C’est ce qu’avait tranché la Cour d’appel de Paris le 27 mai 2014, annulant la procédure d’arbitrage menée en 1995 et 1997 par Michèle Taburno alors présidente de la Fondation. Opération qualifiée de « frauduleuse », elle avait permis essentiellement à celle-ci ainsi qu’aux fils de l’artiste de s’approprier environ 400 œuvres léguées à la Fondation par Victor et Claire Vasarely.
Nouvel épisode du feuilleton à rebondissements de l’héritage de Victor Vasarely, le pionnier de l’art op’que dont la fonda’on est installée à Aix-en-Provence. Le pe’t-fils et président de la fonda’on a publié, le 5 juillet, un communiqué annonçant un arrêt de la chambre d’instruc’on de la cour d’appel de Paris qui valide “la saisie de 112 œuvres originales majeures de la Fonda3on Vasarely retrouvées au domicile portoricain Michele Taburno-Vasarely“. Elles avaient été récupérées par le FBI en avril 2023. Une décision est toujours aaendue de l’autre côté de l’Atlan’que, où Michele Taburno-Vasarely a de son côté lancé une procédure juridique pour empêcher leur rapatriement. . Depuis des années, le petit-fils du peintre s’efforce de récupérer des œuvres détenues par son ex-belle-mère à l’issue d’une procédure d’arbitrage, cassée par la justice. Michele Taburno-Vasarely avait emporté avec elle ses pièces destinées à la fondation et qui devait permettre “son rayonnement de manière pérenne“. “La fondation se réjouit de la décision intervenue le 4 juillet dernier et espère désormais que ces œuvres qui sont siennes, rentrent en France rapidement et retrouvent ainsi la destination que leur avait donnée le plasticien et son épouse“, écrit encore le président de la fondation.
PUBLIÉ LE 08 JUILLET 2024
PUBLIÉ LE 15 JUIN 2024
La abogada Isabel Abislaimán, quien posee una certificación como tasadora de arte, explicó en entrevista con Microjuris que este pleito comenzó en 1995 cuando los herederos de Vasarely se percataron de que había obras desaparecidas. . Con una reciente decisión del equivalente al Tribunal Supremo de Francia como trasfondo, el caso que discute el destino de más de un centenar de obras del pintor de origen húngaro Victor Vasarely tendrá sus argumentaciones finales el próximo miércoles, 26 de junio en el Tribunal federal para el Distrito de Puerto Rico.
La jueza federal María Antongiorgi Jordán pautó la fecha en la que la Fiscalía Federal y los abogados de la coleccionista de arte Michèle Catherine Taburno Vasarely realizarán los argumentos finales del caso involucrando 112 piezas de arte del llamado padre del « Op-Art », el húngaro francés Víctor Vasarely. Esto significa que la nuera de Vasarely, quien vive en un tipo de casa museo en el antiguo Colegio de Párvulos en la #263 de la calle San Sebastián, en Viejo San Juan, no volverá a testificar desde que se tuvo que retirar de la corte el pasado 28 de febrero. . Ese día, la mujer de origen francés y de 83 años de edad acabó abruptamente su testimonio por un percance de salud. En marzo, Antongiorgi Jordán ordenó a los abogados de la coleccionista informar si ésta podría finalizar sus declaraciones o no y el 31 de mayo el licenciado Carlos Andreu Collazo notificó que no en una moción informativa sellada.
PUBLIÉ LE 10 JUIN 2024
PUBLIÉ LE 02 MAI 2024
Az V. Műtárgybefektetési Konferencia alkalmából Budapestre érkezett Pierre Vasarely, a Fondation Vasarely elnöke. Victor Vasarely örökösét, erkölcsi jogtulajdonosát és életművének gondozóját Zachar Veronika és Kollmann Szilvia, a műtárgy.com-tól kérdezték nagyapjáról, 2019-ben megjelent családregényéről, magyarországi kapcsolatairól, az Alapítvány működéséről, továbbá a jövőbeli terveiről.
« Votre article du 27 décembre dernier, réservé aux abonnés de votre site internet, intitulé « Tableaux éparpillés, soupçons d’abus de confiance, intervention du FBI… Les incroyables facettes de la succession Vasarely », me présente comme menant « des manoeuvres » en cherchant à me « refaire une réputation ». Parmi les « manœuvres » qui me sont attribuées, il est indiqué que je « multiplie les procédures judiciaires » jusqu’à l’abus et ce au détriment de l’œuvre de Victor Vasarely. . Or, mon combat, celui de la Fondation Vasarely, sont des plus légitimes et ont été reconnus fondés par de nombreuses décisions de justice dont vous auriez pu facilement prendre connaissance.
PUBLIÉ LE 12 AVRIL 2024
La jueza federal María Antongiorgi Jordán pautó la fecha en la que la Fiscalía Federal y los abogados de la coleccionista de arte Michèle Catherine Taburno Vasarely realizarán los argumentos finales del caso involucrando 112 piezas de arte del llamado padre del « Op-Art », el húngaro francés Víctor Vasarely. . Esto significa que la nuera de Vasarely, quien vive en un tipo de casa museo en el antiguo Colegio de Párvulos en la #263 de la calle San Sebastián, en Viejo San Juan, no volverá a testificar desde que se tuvo que retirar de la corte el pasado 28 de febrero. Ese día, la mujer de origen francés y de 83 años de edad acabó abruptamente su testimonio por un percance de salud. . En marzo, Antongiorgi Jordán ordenó a los abogados de la coleccionista informar si ésta podría finalizar sus declaraciones o no y el 31 de mayo el licenciado Carlos Andreu Collazo notificó que no en una moción informativa sellada. Así las cosas, el final de la demanda para recuperar las millonarias piezas de arte de Víctor Vasarely podría ir finalizando este próximo 26 de junio de 2024, a las 10:30am, cuando se celebre la vista en la sala 2 de la corte.
La culminación de la vista evidenciaria en la demanda de Michele Taburno Vasarely contra el gobierno federal quedó ayer en suspenso, debido a que la nuera del fenecido artista francés Victor Vasarely no pudo presentarse al tribunal para culminar su testimonio. . Ante la ausencia de la coleccionista, la jueza María Antongiorgi Jordán pautó la continuación de la vista para el 19 de marzo, tentativo a que cuatro días antes los abogados de Taburno Vasarely informen si ella estará apta para presentarse. Taburno Vasarely demandó para evitar la entrega al gobierno de Francia de unas 112 obras que le confiscó el Negociado Federal de Investigaciones (FBI) en abril de 2023, a solicitud de la nación europea. . Chatelin admitió que lleva poco más de cinco años litigando en las cortes francesas y que apenas ha trabajado en “seis o siete casos” que involucran acuerdos internacionales entre Francia y otras naciones, como Japón y los Emiratos Árabes Unidos.
PUBLIÉ LE 1er MARS 2024
PUBLIÉ LE 12 FÉVRIER 2024
Monsieur le Rédacteur en Chef, L’article paru dans l’édition du 28 décembre 2023 du journal LA LIBRE, sous le titre « la folle succession de Vasarely : les manœuvres du petit- fils du peintre et le « scandale international » me met en cause en mon nom personnel et en ma qualité de Président de la Fondation Vasarely. . Dans le cadre de l’exercice du droit de réponse, je vous saurais gré de bien vouloir publier la réponse ciaprès : « Votre article du 28 décembre 2023 du journal LA LIBRE, sous le titre « la folle succession de Vasarely : les manœuvres du petit-fils du peintre et le « scandale international », me présente comme jouant un «jeu trouble» et cherchant à me «refaire une réputation». . Parmi les « manœuvres » qui me sont attribuées, il est indiqué que je « multiplie les procédures judiciaires » jusqu’à l’abus et ce au détriment de l’œuvre de Victor Vasarely. Or, mon combat, celui de la Fondation Vasarely, sont des plus légitimes et ont été reconnus fondés par de nombreuses décisions de justice dont vous auriez pu facilement prendre connaissance. Ainsi , lorsque le testament de Victor Vasarely qui m’instituait légataire universel a été écarté lors de l’ouverture de la succession dont Maitrc Pierre Dubreuil etait en charge, j’ai du agir en justice (1998). Le Tribunal de Grande Instance (2003) puis la Cour d’Appcl de Paris (2005) m’ont donné raison.
Monsieur le Rédacteur en Chef, L’article paru dans l’édition du 28 décembre 2023 du journal LA LIBRE, sous le titre « la folle succession de Vasarely : les manœuvres du petit- fils du peintre et le « scandale international » me met en cause en mon nom personnel et en ma qualité de Président de la Fondation Vasarely. . Dans le cadre de l’exercice du droit de réponse, je vous saurais gré de bien vouloir publier la réponse ci-après : « Votre article du 28 décembre 2023 du journal LA LIBRE, sous le titre « la folle succession de Vasarely : les manœuvres du petit-fils du peintre et le « scandale international », me présente comme jouant un «jeu trouble» et cherchant à me «refaire une réputation». . Parmi les « manœuvres » qui me sont attribuées, il est indiqué que je « multiplie les procédures judiciaires » jusqu’à l’abus et ce au détriment de l’œuvre de Victor Vasarely. Or, mon combat, celui de la Fondation Vasarely, sont des plus légitimes et ont été reconnus fondés par de nombreuses décisions de justice dont vous auriez pu facilement prendre connaissance. . Ainsi, lorsque le testament de Victor Vasarely qui m’instituait légataire universel a été écarté lors de l’ouverture de la succession dont Maître Pierre Dubreuil était en charge, j’ai dû agir en justice (1998). Le Tribunal de Grande Instance (2003) puis la Cour d’Appel de Paris (2005) m’ont donné raison. . Lorsqu’il a fallu faire reconnaître ma qualité de seul titulaire du droit moral sur l’œuvre de Victor Vasarely, et obtenir la restitution de ses archives, détenues par Michèle Taburno, j’ai dû agir en justice. Le Tribunal de Grande Instance (2009) puis la Cour d’Appel d’Aix-enProvence (2011) m’ont donné raison. Les archives n’ont cependant toujours pas été restituées.
PUBLIÉ LE 06 FÉVRIER 2024
PUBLIÉ LE 04 FÉVRIER 2024
Monsieur le Directeur de la Publication, L’article paru sur le site internet du 27 décembre 2023 sur le site internet accessible à l’adresse https://www.liberation.fr/ sous le titre Enquête « Tableaux éparpillés, soupçons d’abus de confiance, intervention du FBI… Les incroyables facettes de la succession Vasarely » Article réservé aux abonnés me met en cause en mon nom personnel et en ma qualité de Président de la Fondation Vasarely. . Dans le cadre de l’exercice du droit de réponse prévu à l’article 13 de la loi du 29 juillet 1881 et de l’Article 6 § IV de la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l’économie numérique sur la liberté de la presse, je vous saurais gré de bien vouloir publier sur le site internet accessible à l’adresse https://www.liberation.fr/, en associant le droit de réponse à l’article source, la réponse ciaprès : . « Votre article du 27 décembre dernier, réservé aux abonnés de votre site internet, intitulé « Tableaux éparpillés, soupçons d’abus de confiance, intervention du FBI… Les incroyables facettes de la succession Vasarely», me présente comme menant « des manoeuvres » en cherchant à me « refaire une réputation ». Parmi les « manœuvres » qui me sont attribuées, il est indiqué que je « multiplie les procédures judiciaires » jusqu’à l’abus et ce au détriment de l’œuvre de Victor Vasarely . Ainsi, lorsque le testament de Victor Vasarely qui m’instituait légataire universel a été écarté lors de l’ouverture de la succession dont Maître Pierre Dubreuil était en charge, j’ai dû agir en justice (1998). Le Tribunal de Grande Instance (2003) puis la Cour d’Appel de Paris (2005) m’ont donné raison. . Lorsqu’il a fallu faire reconnaître ma qualité de seul titulaire du droit moral sur l’œuvre de Victor Vasarely, et obtenir la restitution de ses archives, détenues par Michèle Taburno, j’ai dû agir en justice. Le Tribunal de Grande Instance (2009) puis la Cour d’Appel d’Aix-enProvence (2011) m’ont donné raison. Les archives n’ont cependant toujours pas été restituées.
A HVG 2023. december 30-i számában „Libération: A Vasarely-botrány folytatódik” címen egy cikket tett közzé, mely a francia Liberation napilapbanmegjelent VASARELYALAPÍTVÁNYVáltozógeometriájúbotrány” című közlemény átszerkesztett változata a HVG 360 szerzőségében. Az Önök cikke mind személyemben, mind a Vasarely Alapítvány elnöki minőségében is érint. . A válaszadás jogán kérem, hogy az alábbi, Liberation-nak küldött válaszlevelemet változtatás nélkül az eredeti cikkel megegyező helyen és terjedelemben közöljék. „Az Ön december 29-i cikke, amely a „VASARELY ALAPÍTVÁNY Változó geometriájú botrány” címet viseli, úgy mutat be engem, mint aki „sötét játékot” játszik, és a „hírneve újjáépítésére” törekszik.
PUBLIÉ LE 04 FÉVRIER 2024
PUBLIÉ LE 04 JANVIER 2024
J’ai été profondément surpris par l’article publié dans Libération le 29 décembre dernier, intitulé « VASARELY la succession qui ne tourne pas rond », qui me met en cause en ma qualité de Président de la Fondation Vasarely, mais encore à titre personnel, me présentant comme occupé à redresser une réputation prétendument compromise. . Mais de quoi résulte-t-il que ma réputation serait ternie ? Il y a dans cet article un présupposé qui signe sa partialité. . . Mon combat, en tant que légataire universel de Victor Vasarely et seul titulaire du droit moral, tout comme celui de la Fondation Vasarely sont des plus légitimes et validés par de nombreuses décisions judiciaires, que les journalistes de Libération n’ont visiblement pas cru bon de consulter. . Présenter comme une sordide affaire de règlement successoral, ce qui est, de fait, le dépouillement d’une Institution de sa substance au mépris de la volonté de ses fondateurs – Victor et Claire Vasarely – est une mystification. . J’entends en particulier rappeler que l’arbitrage, auquel plusieurs des personnes citées ont participé, et qui a conduit la Fondation à se vider de la quasi intégralité de ses collections, a été considéré comme frauduleux et irrévocablement annulé par la Cour d’appel de Paris en 2014, les conditions de sa mise en œuvre faisant actuellement l’objet de poursuites pénales pour abus de confiance, recel et blanchiment et de nombreuses mises en examen, parmi lesquelles celles de Michèle Taburno, Pierre Dubreuil et Yann Streiff, dont les propos sont allègrement cités dans l’article. . Qu’à l’inverse de ce que laisse entendre Libération, ces deux procédures n’ont pas été initiées par mes soins mais par l’administrateur judiciaire de la Fondation et le Parquet de Paris. . Que ce même Parquet de Paris et les Juges d’instruction en charge de ce dossier ont récemment considéré que les faits étaient suffisamment graves et attentatoires aux intérêts culturels de la France pour solliciter l’assistance du FBI et qu’un magistrat français se rende à Porto Rico pour procéder à la saisie d’une centaine d’œuvres se trouvant entre les mains de Mme Michèle Taburno et appartenant à la Fondation. . Il ne s’agit ici que de quelques exemples d’informations partiales et inexactes figurant dans cet article. Empreint en outre d’une animosité non dissimulée à mon égard, il ne peut sérieusement porter le nom d’enquête. . Cet exercice de dénigrement ne semble avoir, en réalité, pour seul objectif que de discréditer l’Institution qu’est la Fondation Vasarely, Institution reconnue d’utilité publique qui, depuis 2007 et un changement radical de gouvernance (la Fondation risquait alors le dépôt de bilan faut-il le rappeler ?), met tout en œuvre pour permettre son relèvement. . Elle fait ainsi valoir ses droits et agit en Justice parce qu’elle a été spoliée de ses collections. Elle les récupère progressivement, ce qui ne va pas sans inquiéter ceux qui ont pu en profiter. . Grâce au soutien de l’État et des collectivités territoriales, des travaux d’importance ont, par ailleurs, été réalisés, le gros œuvre a ainsi été entièrement restauré, de même que 23 des 44 œuvres monumentales qui composent la Fondation. Son bâtiment-œuvre a, en outre, été classé monument historique en 2013 et le lieu d’exposition qu’elle présente au public a reçu l’appellation Musée de France en 2020. . Enfin, depuis plusieurs années, la Fondation développe un ambitieux programme d’expositions en relation avec le Centre Pompidou avec qui elle poursuit un projet d’envergure européenne dans le domaine de l’art optico-cinétique. En quoi faudrait-il rougir de tout cela ? . Cette reconnaissance publique, tout à la fois, de sa place dans le paysage culturel et de son redressement est le démenti le plus cinglant aux descriptions d’indigence, de médiocrité, d’étroite petitesse dont les auteurs de l’article s’appliquent à l’habiller. . Aix-en-Provence, le 4 janvier 2024 . Pierre Vasarely
Une centaine d’œuvres signées Vasarely, saisies aux États-Unis, réclamées devant la justice en France
El legado de Víctor Vasarely, padre del “Op Art”, genera una millonaria disputa judicial
Cuadros de Vasarely en una batalla judicial interminable
Batalla por Vasarely
Succession Vasarely : la justice française réclame le rapatriement des œuvres saisies par le FBI
Des juges français réclament le retour en France d’une centaine d’œuvres de Vasarely
.La Dura Batalla Judicial En Torno A Los Cuadros De Vasarely Incautados En Puerto Rico
Las pinturas de Víctor Vasarely: ¿fueron ocupadas como evidencia o solo para devolverlas a Francia?
DROIT DE RÉPONSE
Legs Vasarely : 112 tableaux « validés »
Nieto de Víctor Vasarely informa que tribunal francés validó la confiscación de las obras de arte en San Juan
La justice française confirme la saisie de 112 œuvres de Vasarely
La justice française valide la saisie de 112 œuvres originales de Vasarely à Puerto-Rico
Pinceladas finales en pleito en Puerto Rico sobre centenar de obras en disputa en Francia
Tribunal federal agenda argumentos finales del caso Vasarely en Puerto Rico
Vasarely 50 évvel megelőzte a korát – Interjú Pierre Vasarelyvel
Droit de réponse de Pierre Vasarely
Vista judicial en caso Vasarely y contratiempo de salud
En suspenso continuación de disputa por obras de Vasarely
Droit de réponse de Pierre Vasarely paru dans La Libre Belgique
Courrier du 6 février de Pierre Vasarely à La Libre Belgique
Libération du 4 février 2024, publication du droit de réponse
Courrier de Pierre Vasarely du 4 février 2024 au directeur du quotidien hongrois HGV
Communiqué de Pierre Vasarely du 4 janvier 2024
A la différence de la galerie de personnages des propos desquels l’article est entièrement nourri, je n’ai jamais été mis en cause (et encore moins mis en examen) dans quelque affaire que ce soit, ni fait l’objet de saisies pénales ou encore de la sanction disciplinaire suprême pour un avocat, la radiation.
Actualités judiciaires – 2024
La centaine d’œuvres de Victor Vasarely saisies l’année dernière par le FBI à Porto Rico, reviendront-elles un jour en France ? La justice française le souhaite, mais l’ex-femme de l’artiste s’y oppose.
.
Du nouveau dans un imbroglio juridico-famillialo-artistique sans fin. La France espère voir revenir les 112 œuvres d’art saisies par le FBI au printemps 2023 lors d’une perquisition à Porto-Rico. Comme relaté par Libération dans son enquête, l’affaire concerne la succession du célèbre Victor Vasarhelyi, dit Vasarely (1906-1997), créateur franco-hongrois de l’Op-Art et père de la peinture cinétique. De son vivant, l’artiste a donné à titre inaliénable des centaines d’œuvres à la fondation ouverte à son nom en 1971 à Aix-en-Provence. Depuis son décès en 1997, son petit-fils Pierre, actuel président de la fondation, s’oppose à sa belle-mère et ex-présidente de la fondation, Michèle Taburno-Vasarely. Le premier accuse la seconde d’avoir dilapidé la fondation à son profit, en s’exilant aux Etats-Unis avec de multiples œuvres.
.
műtárgy.com: Melyik a legkedvesebb emléke a nagyapjáról? Pierre Vasarely: Számos boldog pillanatot éltem át a nagyapámmal. Én voltam a « kis Pierre », gondtalan játszótárs és partner a pétanque-ban, biliárdban, sakkban és pókerben. A gyerek, aki mindenszentek ünnepén, karácsonykor és húsvétkor meglátogatta őt Annet-sur-Marne-ban (Párizstól 40 km-re található). A nyári…