PUBLIÉ LE 19 SEPTEMBRE 2021
Cour d’appel de Paris Pôle 2 – Chambre 1
Montrer une sélection d’œuvres de Vasarely – de la fin des années 1920 lorsqu’il était un publicitaire doué, marqué par le Bauhaus hongrois, jusqu’aux dernières compositions des années 1980 – au château de Gordes, c’est comme un retour aux sources… « Séduit par Gordes que lui a fait connaître son ami artiste Jean Deyrolle, il y achète une maison en 1950, dans un village de bories, explique son petit-fils, Pierre Vasarely. L’art cinétique y naît à partir d’un petit fenestron de la maison : tout noir quand on le…
PUBLIÉ LE 20 JUILLET 2021
PUBLIÉ LE 19 JUILLET 2021
L’arrêt rendu le 19 septembre 2019 par la Cour d’appel de Paris (Pôle 2 – Chambre 1) à l’encontre de Monsieur Yann STREIFF est devenu définitif « ordonne la publicité de la sanction relative à l’affaire VASARELY dans le bulletin du bâtonnier » (page 50).
Pourquoi Gordes ? Parce que Victor Vasarely découvre ce village provençal en 1948, qu’il en tombe sous le charme, qu’il va y acheter une maison dans laquelle il y passera ses étés en famille, et que c’est là qu’il va puiser l’inspiration qui le mènera du figuratif à l’abstraction, puis vers l’art cinétique. C’est également à Gordes que sa volonté de créer une fondation se concrétise dans un premier temps avec la création du musée didactique, qui présentera de 1970 à 1996 les fondamentaux de ses conceptions artistiques. «Rappelons qu’à l’époque, le village n’était desservi ni par l’autoroute, ni par le TGV. Créer un musée d’art contemporain, hors de Paris, dans le château de Gordes dont il finança lui-même les travaux de restauration était particulièrement audacieux» souligne Pierre Vasarely, son petit-fils et Président de la Fondation Vasarely. C’est donc logiquement dans le château de Gordes que se tient le premier volet de l’exposition diptyque qui célèbre le cinquantenaire de la déclaration d’utilité publique de la Fondation Vasarely.
PUBLIÉ LE 07 JUILLET 2021
PUBLIÉ EN JANVIER 2021
Longtemps, son grand-père, dont il est l’unique petit-fils, fut son compagnon de jeu. De la maison de Gordes à l’atelier d’Annet-sur-Marne, près de Paris, le gamin passait ses vacances chez ses grands-parents paternels, Claire et Victor Vasarely. « Aux premiers jours de l’été, confie-t-il, mes grands-parents sacrifiaient à la traditionnelle transhumance vers la garrigue, les Monts du Vaucluse, Gordes. Camion et voiture transportaient les humains, le matériel et les chiens. Dans le Midi, mon grand-père entrecoupait son travail d’une pause natation le matin et d’une partie de pétanque en fin d’après-midi.
Arrêt du 19 septembre 2019
Arrêt du 19 septembre 2019 – Audience solennelle
Parties en cause :
La procureur Générale pres la cour d’appel de Paris
Le batonnier de l’ordre des avocats de Paris
Monsieur Yann StreiffVasarely, le retour
PUBLICATION D’UNE DÉCISION DISCIPLINAIRE – MONSIEUR YANN STREIFF
À Gordes, la fondation Vasarely célèbre l’artiste et l’influence de ce village
sur son travailPierre Vasarely un bel et lourd héritage