De 1964 à 1976, Vasarely s’intéresse plus particulièrement à la structure cellulaire dans une série d’œuvres intitulée « l’hommage à l’hexagone » où les reliefs sont perçus en incessantes transformations, tantôt en creux , tantôt en relief. L’ambiguïté est accentuée par l’apport des gammes colorées créant un « perpetuum mobile en trompe l’œil », replongeant ainsi dans le domaine de l’optique qu’il avait abordé avec sa période noir-blanc. Puis, surgit la période « Gestalt », période architecturale entre toutes, inspirée du phénomène de la gestalt. En 1965, il participe à l’exposition « Responsive Eye » au Musée d’Art Moderne de New York, consacré à l’Art Optique. Ce mouvement s’attache à suggérer le mouvement sans jamais le réaliser véritablement. Il institue de nouvelles relations entre les spectateurs et l’œuvre en provoquant la participation active de celui qui regarde. Le spectateur est libre d’interpréter l’image en autant de situations visuelles qu’il pourra en concevoir. Par le succès dont bénéficie cette tendance nouvelle, la presse et le public consacrent Vasarely, comme l’inventeur de « l’art optique ».
BI GA
HAT LEG
KAGLO III
LOS ANGELES
TSIGA
HEXA
Période Hommage à l’hexagone
1976, 69,2×59,9 cm
1972, 59,5×51 cm
1986, 66,1×60,1cm
1980, 73,2×63 cm
1973, 72,2×61,6 cm
1971, 547×527 cm