En février dernier, Bruno Allart fut invité par le ministre de la culture Frank Riester à la grande exposition de maître Victor VASARELY qui a eu lieu au centre Pompidou à Paris. Suite à cet événement, il a eu l’honneur d’être convié à Porto Rico chez Michèle, veuve de J.P. Yvaral, fils de Victor Vasarely. « Il est vrai que j’ai eu le privilège de travailler et de vivre au sein de cette famille depuis 1966″. Les retrouvailles avec Michèle Vasarely ont été très chaleureuses. Elle m’a demandé en particulier de procéder à la restauration des oeuvres en sa possession, et nous avons décidé de collaborer à nouveau afin d’établir de nouveaux projets d’expositions de V.Vasarely maîtres de l’Art Optique et de son fils JP Yvaral maître de l’art Digital ».
PUBLIÉ LE 26 NOVEMBRE 2019
PUBLIÉ LE 05 OCTOBRE 2019
Jointe par téléphone à Porto Rico où elle réside désormais, Michèle Taburno, belle-fille du maître de l’op-art’, revient sur les scandales dont elle a été l’une des principales protagonistes
Cour d’appel de Paris Pôle 2 – Chambre 1
PUBLIÉ LE 19 SEPTEMBRE 2021
PUBLIÉ LE 23 AVRIL 2019
Une rétrospective au Centre Georges Pompidou à Paris, une fondation réhabilitée à Aix-en-Provence : Pierre Vasarely, “ombre” de Victor, son grand-père, a lutté près de trente ans pour faire renaître l’œuvre du maître de l’art optique. “Il m’a conditionné dès mon plus jeune âge en disant que je serais le futur président de la fondation”, raconte Pierre, dans son bureau au sein de la fondation Vasarely inaugurée en 1976, où il travaille depuis les années 80 et qu’il préside depuis 2009. Ce petit-fils que Victor présentait comme son “ombre”, supplantant ses deux fils, André et Yvaral, a dû mener, durant près de trente ans, un combat judiciaire, familial, financier pour sauver la fondation du dépôt de bilan, puis d’un arbitrage frauduleux, avant de tenter de récupérer les centaines d’œuvres qui en avaient été soustraites. “Mon père, mes grands-parents ont été manipulés”, raconte Pierre Vasarely. Il y a eu l’épisode Charles Debbasch, doyen de la faculté de droit d’Aix-en-Provence que Victor avait choisi comme premier président de la fondation mais qui met la trésorerie à mal. En mai 2005, l’ancien doyen est condamné en appel, en son absence, à deux ans de prison dont un ferme pour détournement d’œuvres du peintre et de fonds, assorti d’un mandat d’arrêt international car il réside au Togo.
Après une rétrospective au Centre Pompidou, à Paris, et la réhabilitation d’une fondation à Aix-en-Provence, le petit-fils du maître de l’art optique souhaite remettre le travail de son aïeul sur le devant de la scène. Une bataille menée contre vents et marées depuis près de trente ans par le descendant du plasticien franco-hongrois. «Il m’a conditionné dès mon plus jeune âge en disant que je serais le futur président de la fondation», raconte Pierre Vasarely, dans son bureau au sein de la fondation, inaugurée en 1976, qui porte son nom. Il y travaille depuis les années 80 et la préside depuis dix ans. Ce petit-fils que Victor présentait comme son «ombre», supplantant ses deux fils, André et Yvaral, a dû mener, durant près de trente ans, un combat judiciaire, familial, financier pour sauver la fondation du dépôt de bilan, puis d’un arbitrage frauduleux, avant de tenter de récupérer les centaines d’œuvres qui en avaient été soustraites.
PUBLIÉ LE 20 AVRIL 2019
PUBLIÉ LE 19 AVRIL 2019
“Il m’a conditionné dès mon plus jeune âge en disant que je serais le futur président de la fondation”, raconte Pierre Vasarely, dans son bureau de la fondation Vasarely inaugurée en 1976, où il travaille depuis les années 1980 et qu’il préside depuis 2009. Alors que le Centre Pompidou rend hommage à Victor Vasarely, après des années de relatif oubli, ce petit-fils qu’il présentait comme son “ombre”, supplantant ses deux fils, André et Yvaral, raconte une lutte de près de trente ans. Un combat judiciaire, familial, financier pour sauver la fondation du dépôt de bilan, puis d’un arbitrage frauduleux, avant de tenter de récupérer les centaines d’oeuvres qui en avaient été soustraites. “Mon père, mes grands-parents ont été manipulés”, raconte Pierre Vasarely. Il y a eu l’épisode Charles Debbasch, doyen de la faculté de droit d’Aix-en-Provence que Victor avait choisi comme premier président de la fondation et qui met la trésorerie à mal. En mai 2005, l’ancien doyen est condamné en appel, en son absence, à deux ans de prison dont un ferme pour détournement d’oeuvres du peintre et détournement de fonds. Un mandat d’arrêt international est lancé contre lui car il réside au Togo.
A l’heure où l’œuvre peint de Victor Vasarely fait l’objet d’une exposition événementielle au Centre Pompidou à Paris (jusqu’au 6 mai prochain), à Aix-en-Provence c’est sa Fondation qui fête, avec une exposition, une restauration réussie après sept ans de travaux. C’est en effet en 2010 qu’un concours est organisé afin de désigner une équipe de maîtrise d’œuvre pour la restauration et l’extension du centre architectonique bâti sur les hauteurs du Jas de Bouffan, à l’ouest du centre-ville. Cette réalisation est le second volet du grand projet de Fondation initié par le plasticien, après le musée de Gordes, créé dans le château Renaissance, restauré par Claire et Victor Vasarely pour présenter son œuvre peint. Les dispositions adoptées dans cet œuvre architecturé sont la signature d’une vie, la matérialisation d’une idée et du rêve d’un plasticien. Avec sa Fondation d’Aix, dont la construction fut dirigée par l’architecte Jean Sonnier dès 1973, l’artiste met en œuvre son ambition sociale et tente de prouver qu’il est possible de réaliser un habitat plus humain, plus coloré et plus agréable à vivre, en compensant l’éloignement de la nature par des équivalences plastiques avec sa «cité polychrome du bonheur».
PUBLIÉ LE 21 FÉVRIER 2019
PUBLIÉ LE 06 FÉVRIER 2019
Alors que le Centre Pompidou inaugure à Paris la première rétrospective consacrée au père de l’art optique, l’artiste Victor Vasarely, le Centre architectonique de la Fondation Vasarely, son œuvre-écrin dont la forme annonce le contenu, fait l’objet d’une exposition présentée in situ du 8 février au 31 mars 2019, «Fondation Vasarely, une œuvre manifeste restaurée (1973-2018)». Traité comme une sculpture lumino-cinétique monumentale, le bâtiment est un exemple remarquable de synthèse entre architecture et arts plastiques. Architecture manifeste de l’art optique, il est aussi une vitrine des techniques les plus avancées de son temps en matière de construction. Il met à l’honneur l’emploi de matériaux les plus performants, innovants et non encore banalisés de l’époque, sur fond de recherches technologiques. En 1975, Victor Vasarely dira pour se justifier: «pour une institution d’avant-garde, il fallait construire un bâtiment ultra moderne».
RENCONTRE DE MICHÈLE VASARELY ET BRUNO ALLART ARTISTE CATALAN
Michèle Taburno-Vasarely : “Je ne rendrai pas les tableaux !”
D’emblée, elle prévient. “On parle tellement de moi et on dit tellement de choses inexactes…, j’en suis suffoquée !” Les journalistes, Michèle Taburno s’en méfie. Presque autant que de la justice. À 78 ans, recluse depuis des années sur l’île de Porto Rico, à quelques brasses de la République Dominicaine, l’ancienne belle-fille de l’artiste partie avec quelque 600 tableaux dans ses valises après la mort de son mari, a la voix d’une jeunette et le ton volontiers badin. “Alors, vous voulez m’interroger sur quoi ?”, lâche-t-elle, finalement ravie d’être sortie de sa retraite pour évoquer “le drame” de sa vie : l’affaire Vasarely.Arrêt du 19 septembre 2019
Arrêt du 19 septembre 2019 – Audience solennelle
Parties en cause :
La procureur Générale pres la cour d’appel de Paris
Le batonnier de l’ordre des avocats de Paris
Monsieur Yann StreiffLe combat de Pierre Vasarely pour faire renaître l’oeuvre de Victor, son grand-père
Pierre Vasarely: son combat pour redonner vie à l’œuvre de son grand-père Victor
Depuis 30 ans, Pierre Vasarely se bat pour sauver l’oeuvre de son grand-père, Victor
Fondation Vasarely : le « phare » d’Aix-en-Provence est restauré
RESTAURÉE, LA FONDATION VASARELY S’EXPOSE